Historique

Par une belle journée de mars...

LUCIEN CHARRON

1962

Lucien Charron reçoit une offre intéressante. M. Fernand Riendeau lui propose d'acquérir son salon funéraire du 25, rue Wellington, Coaticook.

Lucien avait de l'expérience dans le domaine, car il lui arrivait d’assister M. Riendeau dans l'exécution de ses tâches. Il lui répondit : « Laisse-moi quelques jours pour y penser. » Après avoir discuté avec son épouse Jeannette et une mûre réflexion, la décision était prise : « Oui, j’accepte ». Ainsi commençait l’histoire d’une des plus belles entreprises familiales de la région de Coaticook. Nous étions le 8 mars 1962, date mémorable s’il en fut une.

Quelques années suffirent à M. Charron pour donner à son établissement une réputation fort enviable, le service courtois étant une priorité. Notons que dans ces années, Lucien et Jeannette recevaient les familles en deuil dans leur propre logement, celui-ci étant situé dans le même édifice que le salon funéraire. Et lorsque quelqu’un ne se sentait pas bien, c’est dans leur propre lit qu’ils le laissait se reposer… Comme les temps ont changé !

1973

Puis arrive le jour où Lucien achète le salon funéraire Brien, situé au 228, Child. Avec cette acquisition, Lucien Charron est propriétaire des deux salons funéraires de la ville. Les gens ont désormais le choix d’exposer leurs défunts dans l’une ou l’autre des succursales. C’était le 2 mai 1973.

Ensuite vient la relève...

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CLAUDE CHARRON

1973

Claude Charron, fils de Lucien, qui jusqu’à ce jour était barbier, renonce à sa carrière et joint l’entreprise paternelle. Celle-ci prend alors un nouveau nom : Salon funéraire L. Charron et fils enr.

1974

Adorant son métier et ne reculant devant aucun défi, Claude achète l’entreprise familiale l’année suivante, soit en novembre 1974. Lucien demeurera actif au sein de l’entreprise jusqu’en 1988, année où il cessera toute activité, afin de jouir d’une retraite bien méritée.

1987

Des investisseurs veulent construire un centre commercial exactement où est situé le salon de la rue Wellington. Claude y voit l’occasion de centraliser les opérations, vend le terrain et bien sûr l’édifice, qui sera démoli.
Ainsi disparait cette institution  sous les regards attristés de la famille Charron. Mais qu’à cela ne tienne,  Claude fait d’importants investissements dans le salon du 228, Child et lui refait une beauté. Le résultat semble plaire, car la réaction de la population est excellente. Plus important encore, Claude s’assure de servir les gens d’une façon très professionnelle, afin de préserver la bonne réputation que son père avait donnée à l'entreprise. Après le déménagement, l’entreprise est rebaptisée Résidence funéraire Charron et fils inc.

La deuxième relève arrive...

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STÉPHANE CHARRON

1993

Stéphane Charron, fils de Claude et petit-fils de Lucien, gradue au Collège de Rosemont et se joint à l’entreprise. Il sera le troisième Charron à servir les familles en deuil.
Rapidement, Stéphane gagne la confiance de Claude et ce dernier lui confie de plus en plus de responsabilités.

2002

Le 17 décembre 2002, Stéphane acquiert l’entreprise. Afin de rajeunir l’image du salon funéraire, il rénove et décore celui-ci en entier, lui donnant une allure chic et professionnelle qui cadre à merveille avec les services qu’on y reçoit.

2015

Stéphane s'associe à deux hommes d'affaires de la région et ouvre un complexe funéraire ultra-moderne de 14000 pieds carrés sur la rue Sherbrooke à Magog qui porte le nom de « Complexe funéraire Charron et Lamoureux ». On y retrouve trois grandes salles d'exposition, une chapelle nommée « Mémorial » qui peut recevoir plus de 180 personnes, deux salles de réception licenciées pouvant accueillir plus de 225 personnes, un bistro-lounge avec écran géant, une salle de jeu pour enfants, une cuisine pour les traiteurs et plus encore.

2016

En mars 2016, c'est au tour du salon de Coaticook de subir une cure de rajeunissement alors qu'on change les couvre-planchers, le mobilier, les couleurs, la décoration, l'éclairage, l'image, le logo ainsi que le site web. Rien n'est laissé au hasard afin de suivre les nouvelles tendances et d'offrir aux endeuillés un endroit moderne et sophistiqué.